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"Le Vent du soir" (tome 1) de Jean d'Ormesson

jean d'ormesson

Résumé : Depuis "Au plaisir de Dieu", il y a onze ans, Jean d'Ormesson n'avait pas publié de roman. En voici un avec des personnages venus de partout, des passions dévorantes, des aventures en cascades, des coups de tête, des coups de cœur, des coups du sort et même des coups de théâtre.
L'action commence vers le milieu du siècle passé. La scène se déroule sur quatre continents. Un grand seigneur russe, libéral et tourmenté, une négresse de Bahia, un jeune juif polonais promis à un grand avenir, une vieille famille écossaise, un dictateur d'Amérique du Sud, une lectrice de français égarée à Saint-Petersbourg et l'auteur de "Nabucco" et de "La Traviata" figurent parmi les acteurs de cette histoire qui va vite, qui galope et se noue et ressemble plus à la vie qu'à un traité de morale ou à un roman à thèse.
Ce que raconte "Le Vent du soir", c'est une histoire dans l'Histoire. Ce livre étourdissant vous entraîne au Brésil à l'époque de l'esclavage, à Venise au tournant du siècle, dans la Russie tsariste, aux Indes du temps des Anglais, à New York avant New York, dans l'Afrique du Sud de la guerre des Boers. Jean d'Ormesson a la vertu suprême des très grands romanciers : il donne la vie à des hommes et à des femmes qui, venus des horizons les plus divers et les plus opposés, vous deviendront familiers et ne quitteront plus vos cœurs et vos esprits. (Quatrième de couverture)

 

Mon avis : Je me réjouissais de lire ce roman, car c'est un auteur qui ne me laisse pas indifférente. Mais... Je n'ai pas du tout accroché. Le début me fût laborieux, je ne suivais pas du tout les changements de personnages et d'histoires toutes les 2-3 pages, je ne comprenais pas du tout où monsieur d'Ormesson voulait arriver. Petit à petit, j'ai compris et intégré les differents personnages, mais je n'ai pas du tout adhéré à cette façon de structurer "l'histoire". Pour moi, trop de personnages a tué les personnages.
Je suis arrivée à la fin de ma lecture grâce à l'écriture de l'auteur. Sans elle, je pense que j'abandonnais au tiers du roman. Je ne suis pas sûre du tout d'entamer le deuxième tome, mais je ne me l'interdis pas tout à fait, une petite porte reste ouverte sur cet univers assez déstabilisant pour moi.

 

Ma note : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

 

Éditions Jean-Claude Lattès, 1985.
410 pages.

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